Il ne fait décidément pas bon critiquer la nouvelle religion du réchauffement climatique anthropique et catastrophique. Le délit de blasphème est instauré et les têtes sont coupées.
Après l’imbécile de NKM qui s’était permise de traiter de « connards » les climatosceptiques, voici la raciste, sexiste et gérontophobe de Delphine Ernotte qui procède à l’exécution du malpensant. Soit dit en passant, ceux qui chantaient, à l’instar de Renaud, que les femmes amèneraient douceur, compétence, tolérance et intelligence en politique peuvent aller se rhabiller, l’actualité nous abreuve de connes toujours plus connes les unes que les autres et surtout plus totalitaires et liberticides les unes que les autres. C’est à se demander si lorsque les fondateurs de la démocratie l’avaient réservée aux hommes, ils n’avaient pas subodoré quelque chose…. Mais qu’importe, revenons à notre crime blasphématoire du jour.
Philippe Verdier, le présentateur météo de France 2 a publié un livre, « Climat investigation », dans lequel il remet en cause la théorie anthropique et catastrophiste du réchauffement climatique ainsi que la fiabilité de certains scientifiques qu’il estime « manipulés » et « politisés ».
A un mois de la COP 21, ça fait mauvais genre de la part d’une « vedette » de France télévisions, navire amiral de l’empire audiovisuel étatique. Surtout que la conception socialiste de l’empire audiovisuel financé par les contribuables n’est pas d’être le reflet ou l’attente des citoyens, mais le reflet fidèle de la pensée gouvernementale. Même si Philippe Verdier exprime une opinion personnelle qui n’engage en rien son employeur dans un livre et non sur l’antenne, il doit être viré!
Imaginez un instant qu’un employeur privé se permette ça! Vous auriez instantanément tout le ban et l’arrière ban des « défenseurs des droits et de la liberté d’expression » qui s’agiteraient, qui hurleraient, Fleur Pellerin convoquerait l’infâme faciste dans son bureau et lui collerait un « comité d’éthique – garant de la pluralité » dans les pattes… ici, rien.
L’Etat socialiste, à son habitude, s’arroge des droits, et mêmes des abus de droit, qui sont strictement interdits à tout autre.
Même Libération, le servile quotidien de la bourgeoisie gaucho-bobo reconnaît implicitement l’erreur de France 2 :
« Il y avait une erreur à ne pas commettre. Une seule. Et tout indique que la direction de France Télévisions est en train de la commettre : licencier Philippe Verdier, le chef du service météo de France 2, pour délit de climatoscepticisme (…)
Aussi délirant que soit tout l’épisode, France Télévisions aura beaucoup de mal à trouver un motif juridique au licenciement éventuel de Philippe Verdier. Le droit du travail ne lui impose nullement de prendre acte du consensus scientifique sur le réchauffement climatique. Si le négationnisme est un délit pénal, ce n’est pas le cas du climatoscepticisme (…)
C’est pour une autre raison, que le licenciement de Philippe Verdier serait une erreur. La direction de France Télévisions n’a peut-être jamais entendu parler de l’effet Streisand, cette loi d’Internet qui démultiplie instantanément l’impact de tout message que l’on tente de censurer. Un licenciement ferait instantanément accéder le présentateur au statut de martyr du climatoscepticisme. A lui la dénonciation planétaire des«vérités officielles», des religions d’Etat (…)«
Religion? Oui, le terme est lancé, oui, il s’agit bien d’une religion. Et d’une religion particulièrement intolérante, puisque ceux qui ne s’y « soumettent » pas sont tout à la fois traités de connards et privés d’emploi!!! Une religion qui s’impose aux lois terrestres, dont la portée va au delà des contingences et du carcan de l’Etat de droit. Une religion au nom de laquelle tout est permis, le mensonge, la haine, l’insulte, l’intolérance, la diffamation, la censure…. le bûcher.